La définition
Au fait, qu'est-ce qu'un loft ? Avant de devenir une émission de télévision, et bien après, un loft est et restera un local à vocation professionnelle transformé, tout ou partie, en habitation.
Historiquement, les lofts sont nés principalement à N-Y et, dans une moindre mesure, à Paris ou encore Londres (pour ne citer que les villes les plus importantes) à la fin des années 60.
Les crises économiques sectorielles, la nécessité de trouver plus de place, moins chère et plus accessible, ont peu à peu contraint les entreprises à quitter les centre-villes pour les banlieues et autres faubourgs.
Ce faisant, elles laissèrent vacant de nombreux volumes qui ne ressemblaient en rien à la conception bourgeoise de l'habitat. Généralement de grandes surfaces, peu ou pas du tout cloisonnées, un système de chauffage peu performant... tous les ingrédients furent réunis pour que ces lieux soient habités par des artistes ou des marginaux sans le sous.
Le loft était né.
Et son marché aussi.
Naturellement, la flambée immobilière que l'on observe en France depuis 8 ans n'a pas épargnée ce type d'habitat. Bien au contraire.
Le prix au m2 d'une surface brute avoisine aujourd'hui celui d'un appartement terminé.
Parce que contrairement aux biens classiques, les lofts ne sont pas matières abondantes.
Aujourd'hui, trouver un local pour en faire un loft relève de la patience et de l'obstination. Pas moins de 3 ans et demi nous ont été nécesssaires avant de trouver le local qui offrait le plus d'avantages. Et le moins d'inconvénients. Cela fait beaucoup de visites d'usines, d'ateliers, d'entrepôt, de bureaux... avec ou sans le discours de l'agent immobilier "Si, je vous dis, c'est un énôôôôrme potentiel. Signez là.".
Beaucoup de déceptions aussi. Trop chers, trop pourris, trop impossible... ces quelques années nous ont permis de défricher le marché du loft strasbourgeois (quasi inexistant) et de nous faire une opinion sur les capacités des marchands immobiliers, profesionnels ou non, à vendre tout et n'importe quoi avec une belle étiquette "loft".
Les coups de coeur existent. Nous en avons eu de nombreux. Les moments de découragement également.
Historiquement, les lofts sont nés principalement à N-Y et, dans une moindre mesure, à Paris ou encore Londres (pour ne citer que les villes les plus importantes) à la fin des années 60.
Les crises économiques sectorielles, la nécessité de trouver plus de place, moins chère et plus accessible, ont peu à peu contraint les entreprises à quitter les centre-villes pour les banlieues et autres faubourgs.
Ce faisant, elles laissèrent vacant de nombreux volumes qui ne ressemblaient en rien à la conception bourgeoise de l'habitat. Généralement de grandes surfaces, peu ou pas du tout cloisonnées, un système de chauffage peu performant... tous les ingrédients furent réunis pour que ces lieux soient habités par des artistes ou des marginaux sans le sous.
Le loft était né.
Et son marché aussi.
Naturellement, la flambée immobilière que l'on observe en France depuis 8 ans n'a pas épargnée ce type d'habitat. Bien au contraire.
Le prix au m2 d'une surface brute avoisine aujourd'hui celui d'un appartement terminé.
Parce que contrairement aux biens classiques, les lofts ne sont pas matières abondantes.
Aujourd'hui, trouver un local pour en faire un loft relève de la patience et de l'obstination. Pas moins de 3 ans et demi nous ont été nécesssaires avant de trouver le local qui offrait le plus d'avantages. Et le moins d'inconvénients. Cela fait beaucoup de visites d'usines, d'ateliers, d'entrepôt, de bureaux... avec ou sans le discours de l'agent immobilier "Si, je vous dis, c'est un énôôôôrme potentiel. Signez là.".
Beaucoup de déceptions aussi. Trop chers, trop pourris, trop impossible... ces quelques années nous ont permis de défricher le marché du loft strasbourgeois (quasi inexistant) et de nous faire une opinion sur les capacités des marchands immobiliers, profesionnels ou non, à vendre tout et n'importe quoi avec une belle étiquette "loft".
Les coups de coeur existent. Nous en avons eu de nombreux. Les moments de découragement également.
publié par Stéphanie et Régis à
21:24
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